C’est l’envie de mieux connaître ceux avec qui l’on vit, avec qui l’on travaille, qui a poussé Christine Boulanger à esquisser ses premiers portraits. Sa conviction : se connaître, soi-même et les autres, permet de mieux fonctionner ensemble. En 2015, suite aux attaques terroristes en France et à un plan de sauvegarde de l’emploi dans le groupe où elle travaille, elle cherche une nouvelle manière de lutter contre le repli sur soi. Elle rencontre ses voisins, les dessine, les raconte. La Nuit Blanche 2016 dans la gare Rosa Parks à Paris est son premier événement : on se rencontre autour des portraits projetés sur les murs. Christine crée alors Visages d’en Faces, une approche participative du portrait dessiné et raconté : des expositions et des ateliers (en ligne ou en présentiel) pour cultiver l’attention et changer les regards en entreprise et dans les territoires.
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